Gardiens de la paix, entre le marteau et l’enclume

Gardiens de la paix, entre le marteau et l’enclume.
Nous avons déjà abordé les sujets de la légitime défense, la police, la justice, les territoires perdus de la république etc.. .
Après les émeutes que notre pays a vécues début juillet et au cours desquelles plus de 800 policiers et gendarmes ont été blessés, certains gravement, dans l’exercice de leur mission face à un déferlement de violences hors norme, face à la polémique consécutive à la mise en détention provisoire de deux policiers, contestée par leurs collègues, nous nous devions d’aborder la question du traitement des policiers et gendarmes par les pouvoirs publics et la justice.
En préambule rappelons que Vox Nostra ne prête allégeance à aucun parti politique et se veut porte-parole de citoyens responsables et concernés, lesquels au cas particulier et majoritairement, contrairement au leitmotiv de certains, aiment et soutiennent les forces de l’ordre dont la mission est « ..d’assurer la défense des institutions et des intérêts nationaux, le respect des lois, le maintien de la paix et de l’ordre publics, la protection des personnes et des biens » (art.434-2 Code de déontologie de la police et gendarmerie nationales).

Impôts, mais où va l’argent ?     

Impôts, mais où va l’argent ?
Episode 6 – La politique de la ville
Après avoir évoqué les dépenses sociales, l’immigration, les associations, la culture, les opérateurs de l’Etat, nous abordons ici un sujet malheureusement d’actualité : la politique de la ville.
L’INSEE définit la politique de la ville comme étant une politique de cohésion urbaine et de solidarité, nationale et locale, envers les quartiers défavorisés et leurs habitants. Elle se déploie sur des territoires infra-urbains appelés « quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) » caractérisés par un écart de développement économique et social important avec le reste des agglomérations dans lesquelles ils sont situés.

TRIBUNE LIBRE :

Un article proposé par un lecteur de Vox Nostra publié en tribune libre: AUTORITÉ, VOUS AVEZ DIT AUTORITÉ ?
Nous nous apprêtons à vivre notre Fête Nationale, celle du 14 Juillet, dans une atmosphère détestable.
C’est en fait le fruit d’une conjonction dans le temps de 3 événements distincts :
Notre Fête Nationale en tant que telle et qui devrait être synonyme de joie collective à fêter notre histoire et notre « ciment » national

ALLUMONS LA LUMIÈRE ! (suite)

ALLUMONS LA LUMIÈRE ! (suite)
Nous avons rédigé un article « Allumons la Lumière » à l’occasion du discours du Président de la République aux Mureaux en 2020, discours offensif au demeurant mais resté à l’état de projet poussiéreux notamment après le terrible massacre de l’enseignant Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine.
Emmanuel Macron déclarait à l’époque :« L’ennemi (…) veut notre mort. Nous allons donc livrer un combat à mort », ce que nous avions relayé en déclarant qu’il était temps « d’Allumer la Lumière ».
De l’eau a coulé sous les ponts depuis, mais force est de constater que peu d’actions éclatantes ont été entreprises par l’État.
Nous vivions et continuons de vivre sur une poudrière prête à s’embraser.