Laboratoire d'idées
Depuis plusieurs années l’écologie devient une préoccupation politique au sens noble du terme. Un des thèmes de réflexion concerne l’énergie : comment continuer à pourvoir aux besoins de l’humanité (circuler, se chauffer, s’éclairer, produire, voyager) sans piller les sous- sols et en diminuant significativement l’émission des gaz à effet de serre ?
La réforme territoriale est inévitable. La simplification du millefeuille territorial fait désormais consensus. À l’heure des réseaux sociaux et mondiaux, il est nécessaire d’apurer les circuits de décision.
La théorie de David Graeber (anthropologue américain 12/02/1961-02/09/2020) sur le travail sans importance ou “Bullshit jobs” nous amène à réfléchir en cette période de crise sanitaire sur l’utile et le superflu.
Nous vivons une deuxième vague de pandémie de la Covid-19, avec des effets collatéraux conséquents, potentiels ou déjà avérés, dans les domaines social et économique, qui eux-mêmes peuvent générer par ricochets d’autres problèmes sanitaires potentiels, d’ordre psychologique par exemple.
Aujourd’hui, l’état de droit est considéré comme la principale caractéristique des régimes démocratiques. C’est un rempart contre l’exercice arbitraire du pouvoir. On opposera l’état de droit à l’état de police dans lequel les pouvoirs publics ne sont pas soumis aux normes (aucune contestation n’est possible).
Se sentir utile et faire quelque chose pour autrui est le moteur des bénévoles, lesquels s’impliquent dans des domaines d’activité sans rémunération aussi divers que le sport, la culture ou les loisirs, l’humanitaire, la santé, l’action sociale, la défense des droits, la défense de l’environnement et de la biodiversité ou encore l’éducation.
Vox Nostra 