Le 1er juin 2021 notre laboratoire d’idées publiait un article sur le phénomène des « Territoires Perdus de la République » Vous avez été nombreux à le commenter et vos réactions, ainsi que l’actualité de ces dernières semaines, nous ont incité à rencontrer les résidents de quelques cités du département des Bouches du Rhône.
Le constat est effrayant, hormis la méfiance des habitants à notre égard liée à la peur d’éventuelles représailles, nous avons découvert des citoyens qui ne vivent pas dans des conditions normales.
Lorsque nous échangeons avec ces résidents au sujet du discours politique, ils répondent que les élus n’habitent pas dans leurs quartiers et qu’ils ne se préoccupent pas de leur quotidien.
Mois : novembre 2021
Le monde du travail peut contribuer à donner un sens à la vie de ses collaborateurs
Un article écrit par un contributeur qui a rejoint l’ équipe « Vox Nostra ».
Le monde du travail peut contribuer à donner un sens à la vie de ses collaborateurs.
La question du sens de la vie est certainement aussi vieille que la présence de l’homme sur la terre.
Les écrits sur le sujet sont nombreux et, la plupart d’entre nous s’interrogent également.
Pour Albert Camus, « Le sens de la vie est la plus pressante des questions. »
Il s’ensuit que l’homme cherche à donner un sens à sa vie.
Le droit de tuer avant, pas après !
Le droit de tuer avant, pas après !
Voilà 40 ans, le 8 septembre 1981, par 368 voix pour et 113 voix contre, sous l’impulsion de Robert Badinter, l’assemblée nationale votait l’abolition de la peine de mort.
Monsieur Badinter, ancien garde des sceaux de Monsieur François Mitterrand prononce en 1981 un discours mémorable sur l’abolition de cette sentence inhumaine. (1)
A contrario, Jean Jacques Rousseau (2) dans le contrat social livre son sentiment sur la peine de mort : « C’est pour ne pas être la victime d’un assassin que l’on consent à mourir si on le devient. Tout malfaiteur attaquant le droit social devient par ses forfaits rebelle et traître à la patrie, il cesse d’en être membre en violant ses droits et même il lui fait la guerre. Le criminel est celui qui fait la guerre à la société. L’analogie est faite : le soldat en guerre et le juge sont les deux défenseurs d’une patrie en danger. Par leurs fonctions respectives, ils sont en droit devant le divin et devant la loi de mettre un homme à mort. »