Le permis de conduire, comme son nom l’indique, n’est qu’une autorisation à circuler avec un véhicule à moteur sous certaines conditions. Ce document administratif est remis aux candidats après avoir conduit quelques heures avec un moniteur d’auto-école et ensuite un inspecteur qui valide les cours en délivrant le fameux permis de conduire.
Si l’automobiliste commet des infractions au code de la route, il peut se voir retirer son autorisation à conduire. Il pourra se déplacer avec un véhicule dit « sans permis », composé de quatre roues, une occupation de la voie publique similaire à certains véhicules nécessitant un permis. Comme nous venons de le dire l’utilisation de ce genre de véhicule n’est pas soumis à une autorisation administrative.
Les pouvoirs publics afin de tenter de réduire le nombre d’accidents de la circulation ont inventé et mis en œuvre diverses méthodes, les radars, les limitations de vitesses, etc.
Il est vrai que les radars rapportent énormément d’argent à l’état, mais ne sont pas réellement des mesures pédagogiques pouvant aider les conducteurs.
Ceci est la situation actuelle, il serait peut-être judicieux de penser à une autre formule pour apprendre réellement la maîtrise de la conduite automobile.
Le permis de conduire selon la définition proposée par Wikipédia est un droit administratif donnant l’autorisation de conduire à certains véhicules motorisés tels que motocyclette, automobile, camion ou autobus, dans un ensemble de pays. La délivrance du permis de conduire peut être soumise selon les cas et les lois locales à un test d’aptitude à la conduite de niveau de difficulté variable ainsi qu’à des exigences d’âge minimal.
Il peut être définitivement retiré après la commission de certaines infractions, après une période de temps échue ou à un certain âge. En cas d’accident l’absence de permis du conducteur impliqué entraîne l’annulation de l’assurance et les coûts des dommages matériels propres, dommages corporels propres et dommages matériels et corporels aux tiers sont à la charge de l’individu responsable et peuvent s’élever à des sommes importantes, endettant ainsi le contrevenant à vie. Des sanctions pénales sont également prévues.
Il est question de test d’aptitude à la conduite mais il n’est pas précisé que l’utilisateur doit maîtriser l’art de la conduite. Entre être autorisé à conduire et savoir conduire, c’est ici que le législateur a semble-t-il manqué de pertinence.
Proposition :
Formation, stages de conduite :
Au vu du nombre d’infractions au code de la route et du nombre d’accidents, il serait souhaitable d’envisager une formation sérieuse pour tous les prétendants à la conduite que nous sommes. Cette réforme du permis de conduire servirait à pallier les situations inattendues qui se présentent bien souvent sur nos itinéraires.
Pour cela un véritable stage de conduite pourrait être organisé, apportant aux automobilistes les compétences nécessaires pour circuler en toute sécurité. De nombreux accidents seraient évités, préservant ainsi le cadre familial souvent endeuillé.
Ces stages existent pour les fonctionnaires de police exerçant dans les services spécialisés, nécessitant une parfaite maîtrise du véhicule. Ils pourraient être adaptés à tous les usagers.